Fascination50
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 Camille BON

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Solene^^
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Solene^^


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Date d'inscription : 24/06/2009
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Camille BON Empty
MessageSujet: Camille BON   Camille BON EmptyMer 9 Déc - 12:35

Dans l'Islande enneigé, Edward m'avait emmené fêter la fête de Noël loin de notre famille en Amérique. Loin de ma fille, Renesmée et de mon gendre, Jacob. C'était innabituel. Depuis que j'étais un vampire, jamais j'avais passé Noël aussi loin de ma fille. Aujourd'hui mariée à Jacob depuis une cinquantaine d'année, elle avait créée sa vie et vivait avec son mari dans une petite maison non loin de la villa des Cullen. La voir partir m'avait fait un peu mal. Nessy avait grandit plus vite qu'un enfant ordinaire à cause de sa nature mi vampirique et mi-humaine. Elle n'avait que dix ans de vie lorsqu'elle s'était mariée à Jacob, alors que d'apparence elle en avait 20. Edward pour l'année de nos 60 ans de mariage, avait décidé de partir fêter Noël rien que tout les deux dans un pays qui m'était entièrement inconnu. L'Islande. Pourtant mes angoisses se sont voltisées lorsque j'ai mis un pied sur le sol de l'Islande. C'était tout simplement magnifique. J'étais fascinée par la splendeur des paysages, des traditions et de la routine des gens de ce pays. Sur que à côté d'un paysage magnifique, je perdais toute ma beauté vampirique. Les habitants de cette terre de glace étaient très sympatiques et simples. Contrairement aux new-yorquais que je rencontrais tout les jours depuis que l'on avait emmenagés à New-York, qui étaient prétentieux, avides d'argent et de gros consommateurs, les islandais étaient des gens de nature simple, naturelle, qui semblaient reniés à la technologie dans les petits villages. Ils se tenaient aux anciennes moeurs, moeurs de leurs ancètres. Edward et moi, avions visités plusieurs villes dont la capitale Reykjavîk pendant deux semaines avant de se poser sur une terre sympatique au sud de l'Islande, Akureyri. Edward avait tenu que nous nous comportions comme des humains, le plus possible, plus que d'ordinaire pendant ce voyage. C'est ainsi que moi, Bella Cullen, vampire depuis une soixantaine d'années, se promenait main dans la main avec son mari dans les rues enneigés de l'Islande. Les paysages restaient magnifiques, les rues étaient entassés sous une couche fine mais lourde de naige blanche et ces flocons tournoyaient dans les airs. La joie reignait parmis les habitants qui parlaient avec animation. Nous étions sur un marché où les passants émistoufflés dans des manteaux et des déguisements d'elfes ou de lutins fessaient leurs achats de dernière minute. Nous étions le 23 Décembre et c'était le premier jour de Jol. En effet Noël ne durait pas, mais s'éternisait de 13 jours en Islande. C'était les festivités de Jol. Je me tournais vers Edward et lui demandais, les sourcils fronçés.
« - Dis moi en plus sur les festivités de Jol ! »
Depuis quelques jours j'étais fasciné par cette tradition qui mettait en scène des lutins farceurs, des elfes et même un couple d'ogre. Il tourna le regard vers moi en m'offrant son eternel sourire en coin qui me fessait craquée. Seule moi pouvait remarquer ces canines pointus, plus aguisées et plus fines qu'un être humain. Ces cheveux rebelles avaient les pointes qui gouttaient et qui étaient legèrement en glace sous le froid de cette région. Ces yeux dorés qui étaient ancrés dans les miens, animait en cet instant même une pointe de malice. Je me mefiais donc. Car plus les decennies passaient, plus Edward devenait joueur, il mettait son côté renfermé de côté sans que cela ne detaigne sur l'homme que j'aimais. Il lacha ma main et passa son bras par dessus mes épaules et me serra contre lui en inspirant profondément. Je passais mon bras derrière son dos et accrochait ma main sur sa hanche et il me prononça des mots doux de sa voix de tenor à l'oreille.
«  Je te dirais tout ce que tu voudras savoir lorsque nous serions arrivés à l'endroit où je voudrais t'emmener. »
J'aquiesais sans emmettre de son. Je venais de remarquer que tout le monde se tournait vers nous, le regard admiratif. Si j'aurais pu, j'aurais six pieds sous terre. Je n'aimais pas être le sens de l'attention mais à mon grand desespoir, je ne pouvais point y échapper depuis que j'étais devenu un être immortel. A tout les coups, c'était notre beauté qui les rendaient curieux. Je vis un vieux couple qui nous regardait avec tendresse. De mes oreilles surdeveloppés, je réussis à suivre la conversation.
« - Ils sont si beaux et si amoureux. Nous étions pareils lorsqu'on étaient plus jeunes, disait la vielle bonne femme.
- Qu'ils profitent de la vie car un jour ils n'echapperont pas aux difficultés de la vie et à la vieilleisse apparaisant. Regarde moi ! Je suis tout courbaturé et j'ai la vue qui baisse, repondait son mari en se frottant le dos.
- Tu dis ça, juste parce que tu regrettes ne plus pouvoir mater les filles qui passent devant toi. Dieu que tu te préoccupes plus de moi, depuis des années. Je me rappelle encore lorsque tu étais en admiration devant moi ! Dieu que cette jeune femme en profite avant qu'il ne se fiche d'elle, répliqua la femme. »
S'ils savaient que l'on ne vieillirait jamais. Je me sentit mal en sachant que jamais je ne verrais ma peau prendre des rides et mes os vieillir. Mais c'était le prix à payer en acceptant l'étérnité. Ce couple avait l'âge que j'aurais eu en cet instant si je n'avais pas rencontrer Edward. Je ressentis aussi de la tendresse pour eux qui avaient fait leur vie ensemble et qui se chamallait. Edward se retenait de rire, surement parce qu'il avait entendu les pensées du couple pendant que l'on passait notre chemin devant eux. J'échangeais un regard complice avec lui. Après avoir acheté dans ce marché sympatique des présents pour notre famille, Edward s'arrêta devant un marchant qui preparait des chocolats chauds et des cafés crêmés. Je fronçais les sourcils. Il savait autant que moi que tout les deux nous ne toucherions pas à ce café. Il revint vers moi en me tendant le café et devant mon regard, il se justifia, penaud :
«  - J'avais envie de me rappeler de l'époque où tu étais humaine ! »
Il n'eut pas besoin de se justifier plus, je compris que mon humantié lui manquait pendant certaines périodes malgré le fait que nous étions unis pour l'éternité et qu'il n'avait pas à resister à l'odeur alléchant de mon sang. Je pris donc le café crêmé de ses mains et posait un baiser leger sur ces lèvres charnues et douces. J'ignorais à l'époque que je souffrirais un peu d'avoir pris la vie éternelle. J'avais vu mon père mourir, puis ma mère. J'avais vu mes anciens camarades du lycée vieillir, se marier, avoir des enfants, vieillir à nouveau. J'avais vu de nouvelles générations naître. Pendant que moi je parcourais la terre en compagnie d'une famille, dans un corps qui m'était donné pour l'éternité, changeant tout les deux-trois ans d'identité ainsi que de villes pour ne pas attirer l'attention. Si j'avais eu la chance de connaître le mariage, la naissance d'un être chair de mon propre sang et parcourir le monde, j'avais parfois de la nostalogie lorsque je rencontrais des personnes que j'avais connu dans le passé, marchant dans la rue entourés d'un mari aimant et d'enfants jouant autour. Alors que ma fille atteignait ses 2 ans de vie, nous avions dû quitter Forks car nous attirions trop l'attention avec notre beauté éternelle et notre fille qui poussait à la vitesse de l'éclair. Nous avions dû annoncer la nouvelle à Charlie en lui disant que nous allions nous faire passer morts dans un incendie. Nous lui avons fait promettre de rien dire et en retour nous lui avons prmois qu'il pourrait nous rendre visite. Puis nous étions laissé pour mort dans l'incendie dans la villa des Cullen qui avait fait le tour de Forks. Tout le monde avait été triste mais après un receuillement, ils avaient continuer à vivre. Jacob avait fait croire qu'il avait fugué pour vivre dans une autre ville, loin de la Push et avait en réalité rejoint notre famille. Cela avait crée la polimique. Depuis nous changions de vie regulièrement. Ayant l'eternité devant moi, j'avais evoluer. J'avais laissé mon adolesence derrière moi, et j'avais eu de nouvelles experiences qui avaient forçi mes opinions, mes principes et ma façon de voir les choses. Si j'avais évolué; j'avais toujours le même caractère et le même entetement qu'auparavant selon Emmet. Revenons donc à la réalite, le paysage ne me semblait plus aussi beau lorsque mon mari se concentrait sur mon univers, loin de la réalité comme en cet instant. Le café à la main, il m'emmena dans la forêt. La chaleur que le café produisait entre mes mains me rassurait, j'aimais cette sensation. Après quelques minutes de marche à vitesse vampirique, nous debouchâmes sur une colline. Il m'emmena au sommet sans aucune difficultés et un brin d'existation dans ces gestes. C'est alors que j'eus la plus belle vision de la ville et ses alentours. La ville était enneigé et aux fenêtres des maisons fleurissaient des lumières donnant un aspect féérique. Les collines et les montagnes entouraient la ville fessant barrage. La lumière de la lune sintillant sur la couche duveuse de la neige était tout simplement magnifique. Je sentis des braus entourés ma taille. J'allais me tourner vers lui mais il m'en empêcha et s'empressa de me murmurer à l'oreille de ne pas bouger. J'obeis et ses bras disparurent dans mon dos. Je le sentis et l'entendis se mouvoir, sortir ce qui semblait être une boîte et des très legers tintements qu'un humain n'aurait pu entendre se manifesta mais je n'arrivais à en definir la source. Soudain, autour de mon cou, un objet à peine plus froid que ma peau se posa et une chaine fut refermée derrière mon cou. Je le sentis fermer le fermoir et embrasser la peau sensible au niveau de ma gorge, qui me fit gemir très legèrement. Je fermais les yeux et levais la main pour carresser ma gorge et lorsque je saisis le pendentif entre mes doigts, je baissais le regard etr vit une rose avec un serpent qui était sur le point de mordre sa queue enroulé autour. Je ne comprenais pas sa signification mais j'étais émue. Je levais le regard vers lui.
«  Bella, chaque jour lorsque le soleil se lève, je vois les pétales d'une rose eclorent dans mon coeur pour dévoiler la beauté d'une journée, le bonheur et definir la beauté d'un sourire qui refait battre mon coeur. Le soir venu, au crépuscule, ces pétales se referment pour un repos éternel. Cette rose qui fait palpiper mon coeur et me rend heureux. Qui me rend mon éternitié douce et agréable à vivre. Cette rose c'est toi, Bella. A l'époque j'étais juste un errant qui errait les rues, assoiffé de sang, s'ennuyant de sa vie eternelle, le venin influant sa bouche, prêt à se ruer sur sa proie, tel q'un serpent. Ce n'est desormais plus le cas. Je t'aime Bella Cullen. »
Si j'avais pu pleurer, je serais en train de sangloter. Je fermais juste les yeux, savourant l'amour qu'il me transmettait. Ces bras emprisonnèrent ma taille et je laissais ma tête roulait sur son épaule. Je m'appuyait contre lui dans la peur que tout cela ne soit qu'un rêve. Je murmurais dans l'étoffe de sa chemise. «  Je t'aime, Edward. »
Si je ne le regardait pas, je devinais sans mal le sourire tendre étirer ces lèvres. Il posa son menton sur ma tête et le silence envahit la colline. Je me trouvais dans un conte de fée. Le bonheur n'était qu'une définition de ma vie. L'amour irradiait autour de nous, tandis que nous exprimions notre amour à travers nos pensées.
Lorsqu'il me raconta les légendes des festivités de Jol, ressemblant à des contes de fées, mon dos callé contre son torse, et assise entre ces jambes, devant un magnifique paysage. Tout en me racontant, il me déposait des baisers dans mon cou, derrière mon oreille, et à la naissance de mes seins. Mon corps tout entier brûlait d'un amour qui se consumait petit à petit. Je pretais qu'une oreille aux paroles de mon mari. Je jouais avec ces doigts tout en regardant la lune et ces étoiles qui tournicotaient autour dans des mouvements lents et infini. Je ris doucement, les islandais avait des croyances étranges. Il fallait vraiment y croire. La main de mon mari carresait mon ventre tandis qu'il continuait à parler avec une passion évidente. S'il savait que je me fichait de ces paroles, totalement préoccupée par ses caresses douces sur mon ventre. J'avais les nerfs à vif.
« ...Le dernier jour de Jole, le 6 Janvier est fêté par des feux de la joie, des dances elfiques et... glum... »
Je me retournais et je le coupais en pleine parole en l'embrasant. Je l'avais allongé sur le sol sous la force des mes mouvements et après notre baiser passionée, irradiant, il me regarda les yeux gros comme des soucoupes tandis que je me mordillais les lèvres, qui avait remplacé mes rougissements de lorsque j'étais humaine. Très vite son sourire réapparut sur ces lèvres tellement tentantes. Quand il parla, elle firent des mouvements gracieux en bougeant et m'envoyant son haleine surcrée.
«  Il semble que la demoiselle n'est plus interresé par les légendes de l'Islande... »
Il me retourna dans un geste brusque et je me retrouvais allongé dans la neige. Mes vêtements étaient trempés depuis longtemps et je ne ressentais point le froid qui s'infiltrait dans mes vêtements sur ma peau. Il me domina et nos yeux dorés se croisèrent. J'y vis dans ses prunelles l'amour, le desir et le bonheur d'être avec moi. Sur mes lèvres un sourire apparut. Plus tard, dans notre chambre surchauffée par la cheminée ou un feu crepitait et les bougies qui se consumaient parfumant la pièce, nos corps s'unirent dans un feu ardent. Nos bassins bougeait à l'unission tandis que nos lèvres clémandait marques d'affection. Sous nos gemissements, la lienne en moi se manifestait dans la pire des douces souffrances, brulant tout mes organes morts et mes os de son feu... C'était une nuit magique ou mon mari me couvait d'amour que j'étais persuadée que personne ne pouvait aimer comme on s'aimait. Notre soirée avait été simple mais romantique sans être de trop. Notre voyage était loin d'être terminée mais le romantisme qui s'était acharné sur nous dès notre arrivée dans ce pays, ce qui n'était pas pour me déplaire. Un gemissement rauque de ma part et la lionne en moi se délivra, suivit par le lion.
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Camille BON
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